Tshibala, la rançon de la gloire

À force de rechercher les honneurs, et tout ce qui va avec… l’argent, les villas, les costumes de rigueur, bref, les plaisirs, on finit par tomber plus bas que terre. C’est la chute. La politique business est un fléau bien de chez nous.

 

Partira ? Partira pas ? L’étau se resserre sur le 1ER Ministre, Bruno Tshibala Nzenzhee. Depuis quelques jours, des cris se font de plus en plus stridents pour exiger son départ de la primature. Même dans son camp, il ne fait plus l’unanimité. À la Majorité présidentielle, on fait la fine bouche. Notre confrère Le Soft titrait, début février : « Tshibala en fin de piste ». Et a écrit ceci : « Le Premier ministre du lendemain de la CENCO est cliniquement mort. Il n’y a plus aucun doute: Bruno Tshibala Nzenzhe est arrivé à quai. Le maintenir désormais à bord un jour de plus serait faire courir le péril majeur au pays. Le Premier ministre du lendemain du Centre interdiocésain n’est clairement plus l’homme de la situation. » (sic !) Bien avant, dans nos colonnes, on se demandait s’il y avait encore un 1ER Ministre, qui gouverne vraiment. Ci-après, l’article publié dans l’édition n°145.