Depuis le début de l’année, le marché de l’automobile chinois s’affole. Près du quart d’acheteurs du plus grand marché spécialisé du monde se détournent des marques locales et raffolent celles de l’extérieure, surtout occidentales. Sont ainsi prisées, des automobiles provenant des usines Daimler, Audi et Chrysler. Cela n’enchante pas les responsables chargés de la concurrence.
Ils sont convaincus que les tenants de ces marques étrangères tripotent sur leurs pratiques commerciales et les politiques tarifaires, et tomberaient en flagrance pour « comportements monopolistiques. » Les inspecteurs chinois n’y sont pas allés de main morte.